mini-laboratoire DECLIC

Voilà un an que le mini-laboratoire développé par le CNES est installé à bord de la station spatiale internationale. Un an que les scientifiques réalisent leurs expériences à distance, depuis la Terre, et observent la matière sous un nouveau jour.
Le laboratoire DECLIC, qui se trouve dans l’espace depuis 1 an, fonctionne parfaitement,affirme Bernard Zappoli,Responsable du programme de sciences de la matière au CNES.L’équipe du CADMOS de Toulouse a même réussi à corriger certaines anomalies depuis le sol,ce qui était un véritable challenge technique!
Car si DECLIC se trouve à 400 km au dessus de nos têtes, dans la station spatiale internationale,les expériences sont pilotées en direct depuis Toulouse.
A quoi s’intéressent les scientifiques ? Aux transformations de la matière et notamment aux fluides « supercritiques », des milieux à la fois liquides et gazeux.
Sur Terre, il est par exemple impossible d’observer clairement la transformation d’un fluide comme l’eau en fluide supercritique.
Ce type de phénomène est masqué par la gravité.Dans l’espace, les scientifiques disposent de conditions d’expériences dite pures résume Bernard Zappoli.

Grâce au module HTI (2),les scientifiques ont d'ores et déjà pu déterminer la T°C critique de l’eau, T°C au-dessus de laquelle l’eau sous pression se transforme en eau supercritique.
Aujourd’hui, il y a des interrogations sur le comportement de l’eau en dessous de cette T°C critique, et donc potentiellement des découvertes à faire promet Bernard Zappoli.


Le Mini-laboratoire DECLIC (en rosé) est intégré dans un rack Express
à bord du module japonais JEM de l'ISS

il faut que la science avance
1 point pour le cnes

La station spatiale internationale dont le 1er module a été envoyé dans
l'espace en 1998 a effectué, vendredi 4 février, son 70 000e tour
complet de la Terre.

Zaria ressemble aux modules Kvant-2 et Kristall de la station orbitale soviétique Mir. Le module est doté de deux moteurs de correction et de rapprochement, de 24 moteurs de stabilisation et d'arrimage. Il est équipé de 31 systèmes de bord destinés à assurer ses déplacements en orbite, sa liaison avec la Terre et la réalisation de missions dévolues à l'ISS.
lancé par un lanceur russe Proton-K La Russie et les Etats-Unis ont financé la conception du module conformément au contrat signé par le Centre de production et de recherche spatiale russe Khrounitchev et le groupe Boeing, maître d'oeuvre désigné par la NASA.

L'orbite de la Station spatiale internationale (ISS) a été rehaussée mercredi de 900 m pour atteindre 353 km d'altitude, a annoncé le Centre russe de contrôle des vols (TsOUP).
"La manœuvre a été effectuée au moyen des huit moteurs d'arrimage et d'orientation du cargo russe Progress M-07M amarré au module Zvezda. Ils ont été mis en marche pour 263 secondes relevant l'orbite de l'ISS de 900 mètres. A présent, elle évolue à quelque 353 kilomètres d'altitude", a indiqué un porte-parole du TsOUP.
Les spécialistes du TsOUP ont ainsi créé les conditions pour l'atterrissage du vaisseau Soyouz TMA-M dans le secteur fixé le 16 mars prochain.

RIA Novosti

pour suivre la station spatial international
toujours mon petit lien
http://www.n2yo.com/satellite/?s=25544
clic sur 5 day predictions

un autre
http://www.lizard-tail.com/isana/tracking/index.html?&target=atv

ISS Assembly Sequence - 3D Animation

dolise a écrit:ISS Assembly Sequence -

http://i.usatoday.net/tech/graphics/iss_timeline/flash.htm

jeudi 3 Mars, en conformément avec le plan de la Station spatiale internationale la navette spatiale «Discovery» , vas faire une correction d'orbite .
Il est supposé que ses moteurs seront allumée a 17 heures 03 minutes 36 secondes (14:03:36 GMT) et une impulsion supplémentaire à la valeur de 1 mètre par seconde. En conséquence, la hauteur moyenne de l'orbite atteindras 1,75 km et sera a 352,8 km.

L'arrêt du générateur d'oxygène installé à bord de la Station spatiale internationale (ISS) ne présente aucune menace pour l'équipage, a annoncé à RIA Novosti un porte-parole du Centre russe de contrôle des vols (TsOUP).

Selon la NASA, le générateur russe Elektron qui produit de l'oxygène à partir de l'eau s'est éteint dans la nuit de jeudi à vendredi. Les spécialistes recherchent actuellement la cause de la défaillance.

"La panne ne présente aucun danger ni pour la vie de l'équipage, ni pour le fonctionnement de l'ISS", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

Ce n'est pas la première fois qu'Elektron cause du souci aux résidents de la Station - il a connu plusieurs pannes, notamment en 2005.

Puisqu'il est difficile de séparer l'oxygène de l'hydrogène en apesanteur, le système de ravitaillement de la Station en oxygène tombe régulièrement en panne, a pour sa part expliqué à RIA Novosti une source au sein de l'industrie aéronautique.

Actuellement le ravitaillement en oxygène s'effectue à l'aide du générateur d'oxygène américain également installé à bord de la station orbitale.
RIA Novosti

un gros plan de la Station spatiale Internationale prie par STS- 133 juste après que la station et la navette ont commencé leur séparation

une visite guidée avec EnjoySpace

cette photo vue par l'équipage STS-134 Endeavour le 18 mai juste a l’approche

Des expériences visant à aider l'humanité dans sa lutte contre le cancer seront effectuées à bord de la Station spatiale internationale (ISS), a annoncé lundi l'astronaute japonais Satoshi Furukawa.

"A bord de l'ISS, nous avons l'intention de réaliser des expériences de cristallisation des protéines. Elles nous aideront à résoudre des problèmes liés au cancer", a déclaré l'astronaute japonais lors d'une conférence de presse, organisée à la veille du départ de la 29e expédition internationale vers l'ISS.

"Si nous parvenons à trouver le moyen de bloquer les cellules qui alimentent les métastases, nous remporterons une victoire sur le cancer", a indiqué l'astronaute japonais.

la photo de famille avec endeavour l'ATV et le soyouz puis un progress

Et maintenant la vidéo de famille

La Station spatiale internationale a dû être évacuée brièvement par ses six astronautes ce jour en raison d'un débris spatial qui est passé à seulement 250 m. L'équipage s'est réfugié momentanément dans les deux vaisseaux Soyouz qui sont amarrés à la Station. Une fois l'alerte passée, ils ont pu regagner les différents modules. Le débris spatial a été repéré trop tardivement pour qu'une manoeuvre de changement d'orbite puisse être entreprise....

La Station spatiale internationale (ISS) a effectuer jeudi une manœuvre spéciale pour éviter un débris du lanceur Cyclone-3 tiré en décembre 1991, a annoncé le service de presse du Centre russe de contrôle des vols (TsOUP) à Korolev, dans la région de Moscou.

"Une correction d'orbite a était effectuer au moyen des moteurs du module de service Zvezda arrimé à l'ISS. Selon les calculs du service balistique du TsOUP, les moteurs on était mis en marche à 20h45 heure de Moscou (16h45 GMT). Ils ont fonctionner pendant 169 secondes (environ 3 minutes) la vitesse de la station spatiale et passer a 2,7 m/sec. L'orbite de l'ISS a était relevée ainsi de 4,7 km. L'ISS a survoler le débris à une distance sûre de quelque neuf kilomètres", a indiqué le TsOUP dans un communiqué.

"La prochaine correction d'orbite était prévue pour le 6 octobre prochain. La manœuvre permet d'y renoncer", a noté le TsOUP.

Un fragment du satellite chinois Fengyun 1C frôlera jeudi, à 11h17 (UTC), la Station spatiale internationale (ISS), sans pour autant représenter une menace sérieuse, a déclaré sur son site l'agence spatiale américaine NASA.

Le satellite météorologique Fengyun-1C a été détruit lors de l'essai d'une arme antisatellite chinoise. Depuis, des milliers de fragments restent en orbite.

La NASA a déclaré ne pas être préoccupée par l'approche de l'ISS par le débris, mais l'agence continue à collecter des données sur les paramètres de son orbite avant d'exclure totalement une mesure d'évitement.

Menacée par un débris du satellite de télécommunications américain Iridium-33, la Station spatiale internationale (ISS) effectuera vendredi une manœuvre d'évitement, a communiqué la NASA sur son site Web.D'après l'agence aérospatiale américaine, un débris d'Iridium-33, entré en février 2009 en collision avec le satellite russe Cosmos-2251, s'approchera vendredi entre 18h38 et 20h10 (UTC) de la Station spatiale internationale."A cet effet (…) le centre de contrôle des vols prévoit une manœuvre d'évitement de débris spatial. Le démarrage des moteurs est prévu à 16h20 (UTC)".

Certains équipages de la Station spatiale internationale (ISS) pourraient séjourner en orbite pendant plus d'un an dans le cadre de la préparation à un vol vers Mars, a annoncé mardi à Alexeï Krasnov, chef du département des vols habités de l'Agence fédérale spatiale russe. "Il est tout à fait probable qu'on organise des séjours d'un an (contre six mois actuellement - ndlr.) à bord de l'ISS, c'est nécessaire pour étudier la possibilité de préparation à des vols plus prolongés, notamment vers la Lune et Mars. ", a indiqué M.Krasnov.

L'ISS hébergera en outre une nouvelle édition de l'expérience de simulation d'une mission martienne Mars-500, a rappelé M.Krasnov. "Nous étudions la possibilité de mener l'expérience Mars-500 à bord de l'ISS, cela n'implique pas un isolement de plus de 500 jours pour l'équipage. Il importe surtout de créer des conditions d'un vol autonome dans l'impesanteur afin de se préparer aux futurs vols vers la Lune et Mars", a ajouté M.Krasnov.

L'Agence fédérale spatiale russe Roskosmos a proposé à la NASA de prolonger de trois mois la durée de séjour des équipages à bord de la Station spatiale internationale (ISS), a annoncé à RIA Novosti Alexeï Krasnov, chef du département des vols habités de l'agence.

"Nous devons nous concentrer au maximum non seulement sur la science fondamentale, mais aussi sur la science appliquée, ce qui nous permettra de dire d'ici 2020: 'Oui, nous sommes prêts à entreprendre des vols plus lointains'. Pour cela nous négocions actuellement la prolongation de la durée des séjours de six à neuf mois pour pouvoir entreprendre par la suite un vol annuel", a-t-il indiqué.

Selon M. Krasnov, l'agence a soumis cette proposition à la NASA lors d'une récente rencontre des chefs des agences spatiales au Canada.

Le cargo européen ATV-3 Edoardo Amaldi, qui s'est amarré jeudi à la Station spatiale internationale (ISS), a relevé dimanche l'orbite de la station à 389,8 km, a annoncé le porte-parole du Centre russe de contrôle des vols (TsOUP).

"Les moteurs du cargo européen ATV-3 ont fonctionné pendant 411 secondes (presque sept minutes) comme prévu. L'ISS a reçu une impulsion supplémentaire d'un mètre par seconde. Cette manœuvre a permis de relever l'orbite de la station de 1,7 km. L'ISS évolue actuellement à une altitude de 389,8 km", a indiqué le porte-parole.

Les astronautes Sunita Williams et Aki Hoshide, qui sont sortis dans
l'espace hier pendant 6 h et 28 minutes, ont réussi à réparer la Station
spatiale internationale (ISS). A cause d'un composant électrique
défectueux, celle-ci n'était alimentée qu'à 75% de ses pleines
capacités. Les deux astronautes ont également remplacé une caméra
défectueuse située sur le bras robotique Canadarm