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ISS l'information aux quotidien
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Re: ISS l'information aux quotidien
Les astronautes Sunita Williams et Aki Hoshide, qui sont sortis dans
l'espace hier pendant 6 h et 28 minutes, ont réussi à réparer la Station
spatiale internationale (ISS). A cause d'un composant électrique
défectueux, celle-ci n'était alimentée qu'à 75% de ses pleines
capacités. Les deux astronautes ont également remplacé une caméra
défectueuse située sur le bras robotique Canadarm
l'espace hier pendant 6 h et 28 minutes, ont réussi à réparer la Station
spatiale internationale (ISS). A cause d'un composant électrique
défectueux, celle-ci n'était alimentée qu'à 75% de ses pleines
capacités. Les deux astronautes ont également remplacé une caméra
défectueuse située sur le bras robotique Canadarm
Re: ISS l'information aux quotidien
Des débris d'un satellite russe Cosmos et d'une fusée indienne sont entrés dans la « zone rouge », périmètre de sécurité de la Station Spatiale Internationale (ISS). Si une manœuvre d'évitement était nécessaire, elle serait réalisée avec l'ATV 3, le cargo automatique européen dont le départ de l'ISS a été retardé à cause d'une panne informatique. La trajectoire des débris, d'une taille inconnue, les rapprochera de l'ISS à 16h42 (heure de Paris). Si nécessaire, les trois membres de l'équipage se réfugieront dans le module Soyouz, une manœuvre réalisée trois fois en douze ans....
Re: ISS l'information aux quotidien
La Station spatiale internationale (ISS) a effectué jeudi une manœuvre pour éviter un débris d'un lanceur européen Ariane V, a rapporté l'agence spatiale américaine NASA.
La station a rehaussé son orbite moyenne d'environ 900 m en allumant les moteurs du cargo russe Progress arrimé à l'ISS. Selon les spécialistes, le débris du lanceur Ariane V aurait pu passer à seulement 400 mètres de la station spatiale.
La manœuvre n'a présenté aucun danger pour l'équipage de l'ISS et n'aura aucun effet sur l'arrimage du cargo russe Progress M-23M qui décollera le 9 avril depuis le cosmodrome de Baïkonour (Kazakhstan).
La station a rehaussé son orbite moyenne d'environ 900 m en allumant les moteurs du cargo russe Progress arrimé à l'ISS. Selon les spécialistes, le débris du lanceur Ariane V aurait pu passer à seulement 400 mètres de la station spatiale.
La manœuvre n'a présenté aucun danger pour l'équipage de l'ISS et n'aura aucun effet sur l'arrimage du cargo russe Progress M-23M qui décollera le 9 avril depuis le cosmodrome de Baïkonour (Kazakhstan).
Des cellules cancéreuses envoyées dans l'espace
Des chercheurs de l'Université d'Aarhus au Danemark ont décidé de réaliser une expérience sur des cellules cancéreuses à bord de la Station Spatiale Internationale.
Les préparatifs sont en cours depuis des années, mais finalement l'équipe fera partie de la troisième mission de ravitaillement commercial de SpaceX-3 à l'ISS,
Améliorer les traitements du cancer et limiter l'expérimentation animale
AUTO-DESTRUCTION. Les cellules cancéreuses, tout comme les autres, ont la capacité de s'auto-détruire : ce phénomène s'appelle l'apoptose. Or certaines cellules cancéreuses s'auto-détruisent plus rapidement en apesanteur que sur Terre, mais l'on ignore toujours pourquoi.
"Nous savons que certains gènes s'expriment différemment en apesanteur, mais nous ignorons lesquels sont concernés et comment ils affectent la production de protéines de la machinerie cellulaire, explique les chercheurs. Or la réponse à ces questions pourrait améliorer les traitements du cancer".
De plus, selon elle, il est possible de récolter en apesanteur des agrégats de cellules cancéreuses (appelés sphéroïdes de tumeur multicellulaires), pouvant devenir un excellent modèle pour les tests sur des médicaments anti-cancéreux. Ces sphéroïdes pourraient donc contribuer à réduire l'expérimentation animale dans la recherche sur le cancer.
Une expérience entièrement automatisée
PROTOCOLE. L'expérience sera tout particulièrement réalisée sur 133 cellules cancéreuses humaines (de la thyroïde). Elle commencera 1 à 3 jours après l'arrivée de capsule Dragon sur l'ISS. Les cellules seront figées chimiquement après un maximum de 10 jours , certaines après 1-3 jours.
Au bout de 30 jours, il est prévu que la capsule Dragon quitte l'ISS et ramène les cellules cancéreuses sur Terre. L'expérience est entièrement automatisée et aucun astronaute n'aura besoin de travailler sur les cellules. L'ensemble de cette mission est financée par la NASA.
PROJET. Ce n'est pas une première puisqu'en 2011, cette équipe danoise avait déjà lancé des cellules cancéreuses dans l'espace à bord de la navette spatiale chinoise Shenzhou-8. Elle devrait même récidiver en 2015, dans le cadre d'une mission de l'Agence Spatiale Européenne. "La microgravité est un outil précieux pour explorer de nouvelles cibles dans le traitement anticancéreux et peut être simulé dans certains aspects dans les installations au sol", selon les chercheurs.
Les préparatifs sont en cours depuis des années, mais finalement l'équipe fera partie de la troisième mission de ravitaillement commercial de SpaceX-3 à l'ISS,
Améliorer les traitements du cancer et limiter l'expérimentation animale
AUTO-DESTRUCTION. Les cellules cancéreuses, tout comme les autres, ont la capacité de s'auto-détruire : ce phénomène s'appelle l'apoptose. Or certaines cellules cancéreuses s'auto-détruisent plus rapidement en apesanteur que sur Terre, mais l'on ignore toujours pourquoi.
"Nous savons que certains gènes s'expriment différemment en apesanteur, mais nous ignorons lesquels sont concernés et comment ils affectent la production de protéines de la machinerie cellulaire, explique les chercheurs. Or la réponse à ces questions pourrait améliorer les traitements du cancer".
De plus, selon elle, il est possible de récolter en apesanteur des agrégats de cellules cancéreuses (appelés sphéroïdes de tumeur multicellulaires), pouvant devenir un excellent modèle pour les tests sur des médicaments anti-cancéreux. Ces sphéroïdes pourraient donc contribuer à réduire l'expérimentation animale dans la recherche sur le cancer.
Une expérience entièrement automatisée
PROTOCOLE. L'expérience sera tout particulièrement réalisée sur 133 cellules cancéreuses humaines (de la thyroïde). Elle commencera 1 à 3 jours après l'arrivée de capsule Dragon sur l'ISS. Les cellules seront figées chimiquement après un maximum de 10 jours , certaines après 1-3 jours.
Au bout de 30 jours, il est prévu que la capsule Dragon quitte l'ISS et ramène les cellules cancéreuses sur Terre. L'expérience est entièrement automatisée et aucun astronaute n'aura besoin de travailler sur les cellules. L'ensemble de cette mission est financée par la NASA.
PROJET. Ce n'est pas une première puisqu'en 2011, cette équipe danoise avait déjà lancé des cellules cancéreuses dans l'espace à bord de la navette spatiale chinoise Shenzhou-8. Elle devrait même récidiver en 2015, dans le cadre d'une mission de l'Agence Spatiale Européenne. "La microgravité est un outil précieux pour explorer de nouvelles cibles dans le traitement anticancéreux et peut être simulé dans certains aspects dans les installations au sol", selon les chercheurs.
Des plantes dans la Station Spatiale Internationale
Comprendre comment et par quels mécanismes les plantes perçoivent la gravité terrestre est fondamental pour appréhender son rôle dans le maintien et dans l’ancrage des plantes face à un environnement changeant.
Les recherches menées par l’équipe de chercheurs de l’Université de Clermont-Ferrand (UMR INRA/UBP PIAF « Physique et Physiologie Intégrée de l’Arbre Fruitier et de l’Arbre Forestier ») portent sur la compréhension des mécanismes de la perception de la gravité dans les racines.
Ces recherches, initiés par une équipe de l’Université de Paris 6, ont amené l’équipe de Clermont à concevoir un projet spatial qui vient de se concrétiser. Soutenue par l’ESA (Agence Spatiale Européenne) et le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales), l’expérience spatiale Gravi-2 a eu lieu au sein de la Station Spatiale Internationale, avec la collaboration de Centre des Opérations (N-USOC à Trondheim, Norvège) et de la NASA.
À l’origine de la perception de la gravité se trouvent des cellules, appelées statocytes et qui, dans le cas des racines, sont localisées dans la pointe racinaire. Ces cellules ont la particularité de posséder de volumineux amyloplastes (organites cellulaires riche en amidon) dont la densité est supérieure à celle du cytoplasme environnant, ce qui provoque leur sédimentation sous l’effet de la pesanteur. L’expérience Gravi-2 a pour objectif de mieux comprendre les processus qui résultent d’un changement de la répartition des amyloplastes en micropesanteur.
Les plantes perçoivent la gravité
Parmi les stimuli perçus, le facteur « gravité » est une force incontournable de l'environnement terrestre. Il joue un rôle essentiel dans l’orientation de la croissance des plantes (le gravitropisme), offrant l’avantage unique aux racines de pénétrer dans le sol et d’y puiser les éléments minéraux et aux organes aériens de croître verticalement. La gravité a donc un rôle crucial dans le contrôle de la posture des tiges et dans la progression des racines dans le sol.
À l’origine de la perception de la gravité se trouvent des cellules, appelées statocytes et qui, dans le cas des racines, sont localisées dans la pointe racinaire. Ces cellules ont la particularité de posséder de volumineux amyloplastes (organites cellulaires riche en amidon) dont la densité est supérieure à celle du cytoplasme environnant, ce qui provoque leur sédimentation sous l’effet de la pesanteur. Si l’on modifie l’orientation de la racine par rapport à la gravité ou l’intensité de la gravité (obtenue en micropesanteur), la répartition des amyloplastes changent. Par ailleurs, il a été mis en évidence que les mouvements de ces organites ont une influence sur l’homéostasie du calcium des cellules.
Afin de bien d’élucider les mécanismes de perception de la gravité, un point important est de déterminer le seuil de la sensibilité gravitropique. La détermination de ce seuil est impossible sur terre, où le facteur gravité est omniprésent. L’expérience spatiale précédente, Gravi-1 a permis de l’estimer à 2,0x10-3 g (Driss-Ecole et al, 2008). L’objectif de Gravi-2 est de relier cette valeur à des mécanismes cellulaires dont l’homéostasie du calcium cytosolique. L’expérience Gravi-2 conduira aussi à mieux comprendre les processus qui résultent d’un changement de la répartition des amyloplastes.
Scénario de l’expérience
Des graines de lentille ont été placées dans des unités expérimentales dans le laboratoire-partenaire à Toulouse (GSBMS), puis ont été envoyées par l’ESA au Kennedy Space Center aux Etats Unis. Elles ont ensuite été embarquées à bord d’une capsule Dragon du lanceur Falcon 9 au cours de la mission SpaceX3. Les unités expérimentales contenant les graines de lentille ont été stockées dans une enceinte thermostatée dans l'ISS, en microgravité contrôlée, jusqu’à leur hydratation par l’astronaute américain, Rick Mastracchio.
Après 30 heures de croissance, les jeunes germinations ont été soumises à des accélérations de 5x10-3 g à 2 g, conduisant à un déplacement des amyloplastes. A la suite de l’application de l’une de ces stimulations, une fixation chimique a été déclenchée automatiquement. A l’issue du vol spatial, les unités expérimentales ont été acheminées au GSBMS à Toulouse puis au PIAF où l’équipe scientifique débutera la phase d’analyses. La distribution des amyloplastes, la localisation des protéines affines du calcium, la compartimentation du calcium libre, ainsi que l’expression de gènes-candidats au sein des cellules de la pointe racinaire seront analysées.
Les recherches menées par l’équipe de chercheurs de l’Université de Clermont-Ferrand (UMR INRA/UBP PIAF « Physique et Physiologie Intégrée de l’Arbre Fruitier et de l’Arbre Forestier ») portent sur la compréhension des mécanismes de la perception de la gravité dans les racines.
Ces recherches, initiés par une équipe de l’Université de Paris 6, ont amené l’équipe de Clermont à concevoir un projet spatial qui vient de se concrétiser. Soutenue par l’ESA (Agence Spatiale Européenne) et le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales), l’expérience spatiale Gravi-2 a eu lieu au sein de la Station Spatiale Internationale, avec la collaboration de Centre des Opérations (N-USOC à Trondheim, Norvège) et de la NASA.
À l’origine de la perception de la gravité se trouvent des cellules, appelées statocytes et qui, dans le cas des racines, sont localisées dans la pointe racinaire. Ces cellules ont la particularité de posséder de volumineux amyloplastes (organites cellulaires riche en amidon) dont la densité est supérieure à celle du cytoplasme environnant, ce qui provoque leur sédimentation sous l’effet de la pesanteur. L’expérience Gravi-2 a pour objectif de mieux comprendre les processus qui résultent d’un changement de la répartition des amyloplastes en micropesanteur.
Les plantes perçoivent la gravité
Parmi les stimuli perçus, le facteur « gravité » est une force incontournable de l'environnement terrestre. Il joue un rôle essentiel dans l’orientation de la croissance des plantes (le gravitropisme), offrant l’avantage unique aux racines de pénétrer dans le sol et d’y puiser les éléments minéraux et aux organes aériens de croître verticalement. La gravité a donc un rôle crucial dans le contrôle de la posture des tiges et dans la progression des racines dans le sol.
À l’origine de la perception de la gravité se trouvent des cellules, appelées statocytes et qui, dans le cas des racines, sont localisées dans la pointe racinaire. Ces cellules ont la particularité de posséder de volumineux amyloplastes (organites cellulaires riche en amidon) dont la densité est supérieure à celle du cytoplasme environnant, ce qui provoque leur sédimentation sous l’effet de la pesanteur. Si l’on modifie l’orientation de la racine par rapport à la gravité ou l’intensité de la gravité (obtenue en micropesanteur), la répartition des amyloplastes changent. Par ailleurs, il a été mis en évidence que les mouvements de ces organites ont une influence sur l’homéostasie du calcium des cellules.
Afin de bien d’élucider les mécanismes de perception de la gravité, un point important est de déterminer le seuil de la sensibilité gravitropique. La détermination de ce seuil est impossible sur terre, où le facteur gravité est omniprésent. L’expérience spatiale précédente, Gravi-1 a permis de l’estimer à 2,0x10-3 g (Driss-Ecole et al, 2008). L’objectif de Gravi-2 est de relier cette valeur à des mécanismes cellulaires dont l’homéostasie du calcium cytosolique. L’expérience Gravi-2 conduira aussi à mieux comprendre les processus qui résultent d’un changement de la répartition des amyloplastes.
Scénario de l’expérience
Des graines de lentille ont été placées dans des unités expérimentales dans le laboratoire-partenaire à Toulouse (GSBMS), puis ont été envoyées par l’ESA au Kennedy Space Center aux Etats Unis. Elles ont ensuite été embarquées à bord d’une capsule Dragon du lanceur Falcon 9 au cours de la mission SpaceX3. Les unités expérimentales contenant les graines de lentille ont été stockées dans une enceinte thermostatée dans l'ISS, en microgravité contrôlée, jusqu’à leur hydratation par l’astronaute américain, Rick Mastracchio.
Après 30 heures de croissance, les jeunes germinations ont été soumises à des accélérations de 5x10-3 g à 2 g, conduisant à un déplacement des amyloplastes. A la suite de l’application de l’une de ces stimulations, une fixation chimique a été déclenchée automatiquement. A l’issue du vol spatial, les unités expérimentales ont été acheminées au GSBMS à Toulouse puis au PIAF où l’équipe scientifique débutera la phase d’analyses. La distribution des amyloplastes, la localisation des protéines affines du calcium, la compartimentation du calcium libre, ainsi que l’expression de gènes-candidats au sein des cellules de la pointe racinaire seront analysées.
Alerte incendie dans l'ISS
L'équipage de la Station spatiale internationale (ISS) a déclenché manuellement l'alarme incendie samedi 30 août après avoir senti une odeur de brûlé. C'est le Russe Aleksandr Skvortsov qui a décelé le problème à l'interieur du module Poisk alors qu'il se changeait après avoir fait du sport. Finalement, l'origine des émanations a été identifiée : un réfrigérateur installé la veille dont la peinture extérieure a été partiellement brûlée. Visiblement, Skvortsov l'avait malencontreusement mis en marche en se changeant. Mais aucun court-circuit ne s'est produit. L'équipage ne court aucun danger. ...
Impact de débris spatial sur l'ISS
Un petit impact causé par un débris spatial a été découvert sur la fenêtre numéro 2 du module Cupola de la Station spatiale internationale (ISS). Le choc a laissé un mini-cratère de quelque millimètre de large, sans danger pour l'équipage. Le module Cupola, qui contient plusieurs fenêtres formant une grande baie vitrée, reste opérationnel....
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