Qui est en ligne ?
Il y a en tout 1 utilisateur en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 1 Invité Aucun
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 24 le Mer 24 Avr 2024 - 13:22
Derniers sujets
» Sonde Rosettapar dolise Ven 11 Déc 2015 - 5:49
» Le télescope James Webb
par dolise Sam 21 Nov 2015 - 10:30
» Thomas Pesquet spationaute(ESA)
par dolise Ven 20 Nov 2015 - 6:21
» ROVER MSL (Mars Science Laboratory)
par dolise Ven 20 Nov 2015 - 6:03
» La sonde ExoMars
par dolise Mar 17 Nov 2015 - 6:12
» CHEOPS
par dolise Lun 16 Nov 2015 - 6:24
» Philae
par dolise Ven 6 Nov 2015 - 6:03
» La Sonde New Horizons
par dolise Ven 6 Nov 2015 - 5:57
» ISS : habitée depuis 15 ans sans interruption
par dolise Mer 4 Nov 2015 - 5:57
spectromètre Alpha Magnetic(AMS-02)
3 participants
Page 1 sur 1
spectromètre Alpha Magnetic(AMS-02)
voici le Dr Samuel Ting le Lauréat du prix Nobel de physique 1976 aux côtés de AMS-02
dans l'avion C5 qui est arrivée au kennedy space center
dans l'avion C5 qui est arrivée au kennedy space center
framie- moderateur 1
- Messages : 332
Age : 45
Localisation : R-P
Re: spectromètre Alpha Magnetic(AMS-02)
Samuel Ting: Samuel Chao Chung Ting (EFEO : Ting Tchaotchong) (né le 27 janvier 1936) est un physicien américain d'origine chinoise, professeur à l'université de Columbia et au MIT. Lui et Burton Richter sont colauréats du prix Nobel de physique de 1976 « pour leurs travaux pionniers qui ont mené à la découverte d'une nouvelle particule élémentaire lourde». Il s'agit du méson psi qui apporta la preuve de l'existence du quark charm.
Le projet AMS (SMA en français pour Spectromètre Magnétique Alpha) est parti d'une idée originale du physicien Samuel Ting (prix Nobel de physique 1976). Son objectif est d'explorer l'antimatière pour étudier les raisons de l'asymétrie de leur distribution. La matière domine notre univers. Il permettrait en même temps de chercher à comprendre la matière noire et en particulier des 'Strangelets', association étrange de certaines particules élémentaires. AMS, qui a un budget de 1,5 à 2 milliards de dollars, devrait être arrimer à la station spatiale internationale et y être amené par la navette spatiale en février 2011.
Le projet AMS (SMA en français pour Spectromètre Magnétique Alpha) est parti d'une idée originale du physicien Samuel Ting (prix Nobel de physique 1976). Son objectif est d'explorer l'antimatière pour étudier les raisons de l'asymétrie de leur distribution. La matière domine notre univers. Il permettrait en même temps de chercher à comprendre la matière noire et en particulier des 'Strangelets', association étrange de certaines particules élémentaires. AMS, qui a un budget de 1,5 à 2 milliards de dollars, devrait être arrimer à la station spatiale internationale et y être amené par la navette spatiale en février 2011.
framie- moderateur 1
- Messages : 332
Age : 45
Localisation : R-P
Le module AMS
L'Alpha Magnetic Spectrometer, détecteur de particules spatial, est le fruit d'une collaboration internationale et a impliqué plus de 500 physiciens, ingénieurs et techniciens de 16 pays,Construit en Europe à 90% sous la houlette du Cern,56 laboratoires travaille ensemble dont la Chine. Le module pèse 7 tonnes, mesure 5 mètres de long, 4 de large et 3 de haut. Il sera arrimé à la Station spatiale internationale.
Re: spectromètre Alpha Magnetic(AMS-02)
il sera placé ici
framie- moderateur 1
- Messages : 332
Age : 45
Localisation : R-P
Re: spectromètre Alpha Magnetic(AMS-02)
La délicate chorégraphie pour transférer l'AMS de 7,5 tonnes, de la soute de la navette Endeavour à son point d'attache à l'extérieur de l'ISS, sur le côté droit de la Station, était terminée à 10H46 GMT jeudi.
Elle avait commencé deux heures et quart plus tôt (07H00 GMT) quand les astronautes Andrew Feustel et Roberto Vittori, un Italien de l'Agence spatiale européenne (ESA), ont manoeuvré le bras robotisé de 16 mètres de long depuis l'intérieur d'Endeavour pour très délicatement retirer l'AMS de la soute de l'orbiteur.
Puis ils ont déplacé l'AMS pour le placer dans une position permettant au copilote d'Endeavour, Greg Johnson et au spécialiste de mission, Greg Chamitoff, de le saisir avec le bras robotisé de l'ISS manoeuvré de l'intérieur de la Station.
Les deux astronautes ont ensuite amené l'AMS à son point d'ancrage à l'ISS.
Un mécanisme de saisie automatique a permis de solidement mettre en place le détecteur de particules.
Quelques minutes plus tard, un ensemble de câbles électriques et de câbles de transmission de données a été branché sur l'AMS avec une télécommande.
La collecte des données produites par le détecteur a débuté quasiment aussitôt, a précisé la Nasa.
Les équipes scientifiques de l'AMS travailleront 24 heures sur 24 pour collecter la masse de données aussi longtemps que l'ISS sera sur orbite, soit au moins jusqu'à 2020.
Un puissant aimant, conçu pour créer un champ magnétique qui détourne la trajectoire des particules cosmiques voyageant à travers l'espace, permettra à huit instruments scientifiques de fournir de précieuses informations sur ces particules.
Forts de ces données, des centaines de scientifiques dans les seize pays participant au projet espèrent pouvoir percer les énigmes de la formation de l'univers, découvrir l'antimatière toujours introuvable, et comprendre la nature de la matière noire invisible qui formerait jusqu'à 25% de l'univers.
La matière visible ne compterait que pour 4 à 5% du total et les 70% restants seraient formés d'énergie sombre, une force répulsive contrecarrant la gravité et qui expliquerait pourquoi l'expansion de l'univers s'accélère.
L'AMS pourrait aussi aider à mieux comprendre les pulsars, les explosions de rayons gamma et d'autres phénomènes cosmiques.
L'AMS "sonde vraiment les fondations de la physique moderne", avait déclaré avant le lancement d'Endeavour le professeur Samuel Ting, du Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de physique et initiateur du projet.
"Mais l'objectif le plus exaltant de l'AMS est d'explorer l'inconnu à la recherche de phénomènes qui existent dans la nature mais que nous ne pouvons pas saisir faute d'instruments ou d'imagination", avait-il ajouté.
Elle avait commencé deux heures et quart plus tôt (07H00 GMT) quand les astronautes Andrew Feustel et Roberto Vittori, un Italien de l'Agence spatiale européenne (ESA), ont manoeuvré le bras robotisé de 16 mètres de long depuis l'intérieur d'Endeavour pour très délicatement retirer l'AMS de la soute de l'orbiteur.
Puis ils ont déplacé l'AMS pour le placer dans une position permettant au copilote d'Endeavour, Greg Johnson et au spécialiste de mission, Greg Chamitoff, de le saisir avec le bras robotisé de l'ISS manoeuvré de l'intérieur de la Station.
Les deux astronautes ont ensuite amené l'AMS à son point d'ancrage à l'ISS.
Un mécanisme de saisie automatique a permis de solidement mettre en place le détecteur de particules.
Quelques minutes plus tard, un ensemble de câbles électriques et de câbles de transmission de données a été branché sur l'AMS avec une télécommande.
La collecte des données produites par le détecteur a débuté quasiment aussitôt, a précisé la Nasa.
Les équipes scientifiques de l'AMS travailleront 24 heures sur 24 pour collecter la masse de données aussi longtemps que l'ISS sera sur orbite, soit au moins jusqu'à 2020.
Un puissant aimant, conçu pour créer un champ magnétique qui détourne la trajectoire des particules cosmiques voyageant à travers l'espace, permettra à huit instruments scientifiques de fournir de précieuses informations sur ces particules.
Forts de ces données, des centaines de scientifiques dans les seize pays participant au projet espèrent pouvoir percer les énigmes de la formation de l'univers, découvrir l'antimatière toujours introuvable, et comprendre la nature de la matière noire invisible qui formerait jusqu'à 25% de l'univers.
La matière visible ne compterait que pour 4 à 5% du total et les 70% restants seraient formés d'énergie sombre, une force répulsive contrecarrant la gravité et qui expliquerait pourquoi l'expansion de l'univers s'accélère.
L'AMS pourrait aussi aider à mieux comprendre les pulsars, les explosions de rayons gamma et d'autres phénomènes cosmiques.
L'AMS "sonde vraiment les fondations de la physique moderne", avait déclaré avant le lancement d'Endeavour le professeur Samuel Ting, du Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de physique et initiateur du projet.
"Mais l'objectif le plus exaltant de l'AMS est d'explorer l'inconnu à la recherche de phénomènes qui existent dans la nature mais que nous ne pouvons pas saisir faute d'instruments ou d'imagination", avait-il ajouté.
le 19 mai 2011
l'AMS-2 vue dans la soute de la navette spatiale juste avant de l'installée sur la station spatiale international
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum