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le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
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le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
Ce matin-là au large de la Sardaigne, des ingénieurs de l'Agence spatiale européenne accompagnés de militaires italiens participent à un test crucial. Ils s'apprêtent à larguer en mer, depuis une altitude de 3000 mètres, le tout dernier engin spatial européen : le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV (pour Véhicule expérimental intermédiaire) et expérimentent ainsi, une technologie que l'Europe n'a jamais mise au point auparavant. Ce prototype qui n'est pas conçu pour transporter des astronautes, mais de précieuses charges utiles cristallise de nombreuses ambitions : il s'agit d'un engin de petite taille et d'un coût relativement abordable qui peut rentrer dans l'atmosphère depuis une orbite basse et ensuite, amerrir dans une zone visée de la planète. Il se veut plus facile à manœuvrer que la capsule russe Soyouz, fréquemment utilisée de nos jours, et son périmètre d'amerrissage sera plus précis par rapport aux performances d'autres engins de ce type. Objectif de l'exercice du jour : simuler les conditions d'un retour sur Terre, en l'occurrence en mer. Les équipes ont de la chance : la météo est de la partie. Il faut tout d'abord faire évacuer la zone prévue pour l'amerrissage en barrant l'accès aux navires et acheminer l'IXV par hélicoptère au-dessus des flots avant de lancer l'opération. Tout se déroule comme prévu... jusqu'à l'amerrissage lui-même : l'IXV flotte tout seul alors qu'il devait disposer de quatre ballons sur ses flancs pour gagner en stabilité. Mais là, ils ne se sont pas gonflés automatiquement. Ce sont finalement les mouvements des plongeurs grimpant sur l'IXV qui déclenchent le système. Les ingénieurs estiment d'emblée que le réglage des capteurs qui détectent l'entrée dans l'eau était trop haut, c'est-à-dire que l'impact aurait été un peu moins violent que prévu. Une hypothèse qui sera par la suite, confirmée. Les équipes promettent déjà de tirer très rapidement, tous les enseignements de l'expérience afin d'être fin prêts pour le premier aller-retour spatial de l'IXV, programmé l'an prochain.
Re: le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
une présentation du démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
une vidéo du test
une vidéo du test
préparation de son prochain vol
Le retour d’orbite a de beaux jours devant lui. Les missions humaines et de retour d’échantillons martiens, mais également d’astéroïdes ou de lunes d’autres planètes, vont se densifier. Absente sur ce créneau, l'Europe comble progressivement son retard. Avec l’IXV, le démonstrateur de rentrée atmosphérique qui réalisera son vol en octobre 2014, l’Europe maîtrisera toutes les technologies nécessaires à ce type de missions.
Re: le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
Construit par Thales Alenia Space, l’IXV se présente sous une forme oblongue. Long de 5 mètres, large de 2,2 mètres et haut de 1,5 mètre, il a une masse d'environ deux tonnes.
Le véhicule expérimental intermédiaire est arrivé aux Pays-Bas
Le véhicule expérimental intermédiaire (IXV - Intermediate eXperimental Vehicle) est arrivé hier aux Pays-Bas afin de subir des tests finaux dans le principal centre technique de l’ESA en vue de son lancement au mois de novembre.
Re: le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
Le navire qui hissera hors de l’Océan Pacifique l’avion spatial non habité IXV de l’ESA suite au vol de recherches du mois prochain a pris la mer samedi depuis Gênes en Italie.
Le départ du Nos Aries pendant le 54ème Salon nautique international de Gênes a été fêté spécialement alors que le navire commençait son long voyage à travers la Méditerranée et l’Atlantique.
Une équipe d’ingénieurs de mission embarquera à Panama, et de là ils franchiront le Canal de Panama pour rejoindre le Pacifique.
Ils vérifieront tout d’abord que l’antenne et les récepteurs de télémétrie du navire fonctionnent correctement après ce long voyage. Le système de suivi automatique de l’antenne, qui captera les signaux du véhicule expérimental intermédiaire (IXV - Intermediate eXperimental Vehicle) pendant son vol de retour sur Terre, sera contrôlé en suivant des satellites en orbite basse.
Même si l’équipage s’est déjà entraîné à la manœuvre délicate qui consister à hisser l’IXV hors de l’océan, ils vont continuer à affûter leurs compétences dans un large éventail de conditions.
Nos Aries, le Centre de contrôle de mission à Turin et le port spatial de l’ESA à Kourou (Guyane) seront reliés entre eux par un satellite Inmarsat pour effectuer des simulations de la mission IXV utilisant la voix, les données et la vidéo. L’équipage prendra également part à une répétition générale du lancement, trois jours avant le décollage effectif.
Le navire atteindra sa destination quatre jours avant le vol, un peu au nord de l’équateur, et se placera sur un cercle à 25 kilomètres du point d’amerrissage visé. Cette distance garantit la sécurité du navire tout en permettant une réception maximale de la télémétrie, ainsi qu’un accès rapide à l’IXV après son amerrissage.
Le jour du vol, le navire lâchera des ballons météo pour vérifier les conditions de vent au-dessus du Pacifique, ce qui donnera des informations sur la trajectoire de descente de l’IXV.
Si les conditions en mer permettent de procéder au lancement, le Nos Aries recevra les informations des 300 capteurs de l’IXV pendant sa descente, et captera ensuite les signaux de la balise permettant de localiser avec précision le vaisseau dans l’eau.
Des plongeurs approcheront le vaisseau flottant à bord de vedettes rapides, et resteront à distance le temps que des capteurs renifleurs contrôlent la présence de vapeurs résiduelles d’ergols. Lorsque le feu vert sera donné, les grues de récupération hisseront avec précaution l’IXV en sécurité à bord du navire avant que le réservoir soit nettoyé pour le voyage de retour en Europe.
Le départ du Nos Aries pendant le 54ème Salon nautique international de Gênes a été fêté spécialement alors que le navire commençait son long voyage à travers la Méditerranée et l’Atlantique.
Une équipe d’ingénieurs de mission embarquera à Panama, et de là ils franchiront le Canal de Panama pour rejoindre le Pacifique.
Ils vérifieront tout d’abord que l’antenne et les récepteurs de télémétrie du navire fonctionnent correctement après ce long voyage. Le système de suivi automatique de l’antenne, qui captera les signaux du véhicule expérimental intermédiaire (IXV - Intermediate eXperimental Vehicle) pendant son vol de retour sur Terre, sera contrôlé en suivant des satellites en orbite basse.
Même si l’équipage s’est déjà entraîné à la manœuvre délicate qui consister à hisser l’IXV hors de l’océan, ils vont continuer à affûter leurs compétences dans un large éventail de conditions.
Nos Aries, le Centre de contrôle de mission à Turin et le port spatial de l’ESA à Kourou (Guyane) seront reliés entre eux par un satellite Inmarsat pour effectuer des simulations de la mission IXV utilisant la voix, les données et la vidéo. L’équipage prendra également part à une répétition générale du lancement, trois jours avant le décollage effectif.
Le navire atteindra sa destination quatre jours avant le vol, un peu au nord de l’équateur, et se placera sur un cercle à 25 kilomètres du point d’amerrissage visé. Cette distance garantit la sécurité du navire tout en permettant une réception maximale de la télémétrie, ainsi qu’un accès rapide à l’IXV après son amerrissage.
Le jour du vol, le navire lâchera des ballons météo pour vérifier les conditions de vent au-dessus du Pacifique, ce qui donnera des informations sur la trajectoire de descente de l’IXV.
Si les conditions en mer permettent de procéder au lancement, le Nos Aries recevra les informations des 300 capteurs de l’IXV pendant sa descente, et captera ensuite les signaux de la balise permettant de localiser avec précision le vaisseau dans l’eau.
Des plongeurs approcheront le vaisseau flottant à bord de vedettes rapides, et resteront à distance le temps que des capteurs renifleurs contrôlent la présence de vapeurs résiduelles d’ergols. Lorsque le feu vert sera donné, les grues de récupération hisseront avec précaution l’IXV en sécurité à bord du navire avant que le réservoir soit nettoyé pour le voyage de retour en Europe.
Re: le démonstrateur de rentrée atmosphérique baptisé IXV
une nouvelle date pour Le véhicule expérimental
le 11 février 2015
le 11 février 2015
Depliant lancement
Dépliant lancement
vue par un fichier PDF
http://www.csgpreparationlancement.com/wp-content/uploads/2015/01/Depliant-lancement-VV04.pdf
vue par un fichier PDF
http://www.csgpreparationlancement.com/wp-content/uploads/2015/01/Depliant-lancement-VV04.pdf
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